Louange à Allah et que la paix et la bénédiction soient sur Son Prophète et Messager, Mohammed, ainsi que sur sa famille et ses Compagnons :
Il n’y a aucun mal à comparer une personne à un animal lorsqu’il ne s’agit ni d’une critique ni d’une dépréciation, mais d’une métaphore louangeuse ou affectueuse — comme comparer un homme courageux à un lion, une femme belle à une gazelle, ou une personne douce et aimable à une chatte. Ce genre d’expressions est fréquent dans la langue et la poésie arabes.
Ce qui importe, c’est le contexte et l’intention : si la comparaison se fait dans un cadre d’éloge ou d’affection, elle est permise. Ainsi, dire d’une personne qu’elle « se lève tôt comme le corbeau » (pour signifier qu’elle est matinale et travailleuse) ne comporte aucun blâme, si telle est bien l’intention.
Et Allah sait mieux.