Allaiter... C’est naturel ! Mais on peut avoir besoin de conseils et d’encouragements
Depuis plusieurs années, les observations sur les interactions précoces entre l'enfant et son entourage et les travaux sur les compétences précoces du nourrisson, ont confirmé la force et l'importance des premiers liens. On sait maintenant comment la qualité de ces liens donne des chances pour l'avenir. Au cours de la première année de vie, l'exigence de l'enfant est à la mesure de ce que sa mère lui donne et de ce qui lui en saisit. L'attachement filial, par sa richesse relationnel, procure une inépuisable conscience vitale. La tendresse de sa mère, sa vigilance, sa capacité de le comprendre lui apportent des témoignages de qualité humaine, lui ouvrent le monde. L'étoffe de la conscience d'un individu est constituée par les liens que sa mère a tissés avec lui, dès sa venue au monde.
Les bienfaits d’un allaitement maternel complet :
Les bienfaits d’un allaitement maternel complet :
Allah dit : Et les mères, pour qui veut donner un allaitement complet, allaiteront deux ans pleins. Au père de l’enfant de les nourrir et de les vêtir, conformément au bon usage. (S2/V233).
En Islam, le maternage (c’est-à-dire prendre soin d’un bébé) commence dès la conception, puis se poursuit avec la grossesse et ensuite avec, entre autres, l’allaitement.
Aujourd’hui, la science commence à découvrir les bienfaits d’un allaitement maternel complet et durable.
On ne peut pas imiter le lait maternel : Le lait maternel est une denrée unique et inégalée, malgré tous les efforts de la recherche industrielle. Dans leur ouvrage, Human Milk in the Modern World Jeliffe et Jeliffe déclarent : Il est impossible de transformer biologiquement le lait de vache en lait de femme. Ces deux substances sont beaucoup trop complexes et dissemblables. Le lait de femme est le seul aliment fabriqué exclusivement par Dieu pour le bébé humain.
Le lait maternel est composé principalement d’eau, de protéines, de lipides, de lactose (un sucre), et d’une généreuse portion de vitamines, de minéraux et de sels, de même que d’hormones en quantités infinitésimales.
Les protéines : Ce sont les substances les plus caractéristiques de l’espèce. Certaines protéines essentielles du lait maternel sont aussi différentes de celles du lait de vache que la femme l’est de la vache ! La caséine, protéine abondante dans le lait de vache, forment des caillots larges, durs et caoutchouteux, difficiles à digérer par le bébé humain.
Les protéines de lait humain fournissent les acides aminés qui participent à la construction du cerveau humain et du système nerveux humain et les anticorps qui protègent le petit contre les infections bactériennes et virales. Celles du lait de vache fournissent une protection contre les maladies des bovins !
Les protéines du lait de vache, dont la plupart sont étrangères au lait maternel, peuvent donc nuire au fonctionnement du système immunologique du bébé et affecter gravement le développement spécifique de son cerveau, provoquer de l’anémie et des allergies.
Les lipides (ou graisses) : Le lait de femme contient en moyenne quatre pour cent de graisses. La sorte de graisse accumulée par le nourrisson dépend de la sorte de lipides provenant de son régime alimentaire. Certains produits provenant des lipides sont d’une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux, qui permet la bonne coordination musculaire. Il est donc alarmant de constater que certains lipides contenus dans le lait maternisé ne sont pas appropriés du point de vue biologique et loin d’être parfaits pour le nourrisson. En effet, les lipides non absorbés sont inutiles pour le bébé et peuvent voler son calcium au bébé, en formant un savon insoluble.
Le lactose : Ce sucre se trouve seulement dans le lait. Il constitue une source d’énergie et contribue au développement optimal du cerveau et du système nerveux central du bébé. Le lait de femme contient 50 % fois plus de lactose que le lait de vache.
Le lactose a également un effet bénéfique sur la flore intestinale. C’est pourquoi le lait maternel constitue un bouclier contre la diarrhée.
Les vitamines et les minéraux : Ils sont indispensables à la croissance et à la santé. Le lait de femme est la source la meilleure et la plus équilibrée.
Le fer : Le lait de femme ne contient pas beaucoup plus de fer que le lait de vache. Mais le bébé peut absorber jusqu’à 50 % du fer du lait de sa mère, en comparaison à un taux de 4 % d’absorption quand il boit du lait en poudre fortifié.
Le calcium, le phosphore et la vitamine D :Une concentration élevée en calcium dans le sang n’a aucune valeur s’il n’y a pas en même temps de vitamine D en quantité suffisante pour l’activer. Or la partie aqueuse du lait de femme contient cette vitamine D.
Aujourd’hui, la science commence à découvrir les bienfaits d’un allaitement maternel complet et durable.
On ne peut pas imiter le lait maternel : Le lait maternel est une denrée unique et inégalée, malgré tous les efforts de la recherche industrielle. Dans leur ouvrage, Human Milk in the Modern World Jeliffe et Jeliffe déclarent : Il est impossible de transformer biologiquement le lait de vache en lait de femme. Ces deux substances sont beaucoup trop complexes et dissemblables. Le lait de femme est le seul aliment fabriqué exclusivement par Dieu pour le bébé humain.
Le lait maternel est composé principalement d’eau, de protéines, de lipides, de lactose (un sucre), et d’une généreuse portion de vitamines, de minéraux et de sels, de même que d’hormones en quantités infinitésimales.
Les protéines : Ce sont les substances les plus caractéristiques de l’espèce. Certaines protéines essentielles du lait maternel sont aussi différentes de celles du lait de vache que la femme l’est de la vache ! La caséine, protéine abondante dans le lait de vache, forment des caillots larges, durs et caoutchouteux, difficiles à digérer par le bébé humain.
Les protéines de lait humain fournissent les acides aminés qui participent à la construction du cerveau humain et du système nerveux humain et les anticorps qui protègent le petit contre les infections bactériennes et virales. Celles du lait de vache fournissent une protection contre les maladies des bovins !
Les protéines du lait de vache, dont la plupart sont étrangères au lait maternel, peuvent donc nuire au fonctionnement du système immunologique du bébé et affecter gravement le développement spécifique de son cerveau, provoquer de l’anémie et des allergies.
Les lipides (ou graisses) : Le lait de femme contient en moyenne quatre pour cent de graisses. La sorte de graisse accumulée par le nourrisson dépend de la sorte de lipides provenant de son régime alimentaire. Certains produits provenant des lipides sont d’une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux, qui permet la bonne coordination musculaire. Il est donc alarmant de constater que certains lipides contenus dans le lait maternisé ne sont pas appropriés du point de vue biologique et loin d’être parfaits pour le nourrisson. En effet, les lipides non absorbés sont inutiles pour le bébé et peuvent voler son calcium au bébé, en formant un savon insoluble.
Le lactose : Ce sucre se trouve seulement dans le lait. Il constitue une source d’énergie et contribue au développement optimal du cerveau et du système nerveux central du bébé. Le lait de femme contient 50 % fois plus de lactose que le lait de vache.
Le lactose a également un effet bénéfique sur la flore intestinale. C’est pourquoi le lait maternel constitue un bouclier contre la diarrhée.
Les vitamines et les minéraux : Ils sont indispensables à la croissance et à la santé. Le lait de femme est la source la meilleure et la plus équilibrée.
Le fer : Le lait de femme ne contient pas beaucoup plus de fer que le lait de vache. Mais le bébé peut absorber jusqu’à 50 % du fer du lait de sa mère, en comparaison à un taux de 4 % d’absorption quand il boit du lait en poudre fortifié.
Le calcium, le phosphore et la vitamine D :Une concentration élevée en calcium dans le sang n’a aucune valeur s’il n’y a pas en même temps de vitamine D en quantité suffisante pour l’activer. Or la partie aqueuse du lait de femme contient cette vitamine D.
Les vitamines B6 et B12 : Le lait maternel contient aussi la vitamine B6 qui protègent contre les convulsions. Il contient aussi une protéine spécifique qui a le pouvoir de fixer la vitamine B12. Cette action de fixation prive de leurs ressources les bactéries nocives présentes dans l’intestin du bébé.
Le fluor : Le lait de femme contient du fluor en quantité qui semble parfaitement adaptée aux besoins du bébé.
La vitamine C : Le lait d’une mère qui se nourrit bien contient toute la vitamine C dont son bébé a besoin. Si on croit que l’enfant peut manquer de vitamine C, il est préférable d’en donner à la mère. Elle en profitera et par son lait elle en donnera à son bébé sous la forme et en quantité appropriée.
Avec le lait maternel, tous les nutriments essentiels (vitamines, minéraux, acides aminés, acides nucléiques, oligo-éléments, acides gras, etc.) sont donc donnés en bonne quantité et dans les bonnes proportions.
Réf. : L’art de l’allaitement maternel, éd. De L’Homme.
Le fluor : Le lait de femme contient du fluor en quantité qui semble parfaitement adaptée aux besoins du bébé.
La vitamine C : Le lait d’une mère qui se nourrit bien contient toute la vitamine C dont son bébé a besoin. Si on croit que l’enfant peut manquer de vitamine C, il est préférable d’en donner à la mère. Elle en profitera et par son lait elle en donnera à son bébé sous la forme et en quantité appropriée.
Avec le lait maternel, tous les nutriments essentiels (vitamines, minéraux, acides aminés, acides nucléiques, oligo-éléments, acides gras, etc.) sont donc donnés en bonne quantité et dans les bonnes proportions.
Réf. : L’art de l’allaitement maternel, éd. De L’Homme.