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Le mérite des jours de Tachriiq

Le mérite des jours de Tachriiq

Louange à Allah, Seigneur de l’univers. Que la paix et les bénédictions d’Allah soient sur le plus noble des prophètes et des messagers, notre Prophète Mohammad, ainsi que sur sa famille et  tous ses Compagnons.

Certes, l’évocation d’Allah, Exalté soit-Il, est l’acte d’adoration le plus éminent et le plus insigne, si bien que Mo’aadh Ibn Djabal, qu’Allah soit satisfait de lui, l’a jugée comme le meilleur de tous et a dit :
- « Le fils d’Adam n’a pas d’œuvre plus à même de le sauver du châtiment d’Allah, Exalté soit-Il, que l’évocation ».
- « Même la lutte dans le sentier d’Allah, Ô Abou ‘Abdir-Rahmaan ? ».
- « Même cela, à moins que le musulman continue à lutter jusqu’à trouver la mort ».
 
Car Allah, Exalté soit-Il, dit (sens du verset) « Le rappel d’Allah est certes ce qu’il y a de plus grand » (Coran 29/45). C’est dans l’évocation d’Allah, Exalté soit-Il, que résident la vie, la tranquillité et la quiétude des cœurs, puisque notre Seigneur, Exalté soit-Il, dit (sens du verset) : « Certes, c’est par l’évocation d’Allah que les cœurs se tranquillisent » (Coran 13/28).
 
Quiconque évoque Allah, Exalté soit-Il, à tout moment, le monde d’ici-bas et tout ce qu’il comporte lui paraît de peu d’importance et ne sera pas pour lui une cause de malheur, car il se souvient toujours de Celui Qui l’a créé, conscient que ce qui est auprès d’Allah est meilleur et plus durable.
 
Quiconque évoque constamment Allah, Exalté soit-Il, ne craint aucune de Ses créatures, voire ne craint rien en dehors d’Allah, Exalté soit-Il. Car, l’évocation de son Seigneur, Exalté soit-Il, a placé dans son cœur une vaillance et une résolution qui écartent toute lâcheté ou hésitation. C’est là que réside la puissance de ceux qui luttent dans le sentier d’Allah, Exalté soit-Il, et qui l’emportent sur un ennemi dont le nombre et les moyens matériels sont supérieurs. C’est également ce qui explique que les savants et les réformateurs ordonnent de faire ce qui est convenable, interdisent de commettre ce qui est blâmable et déclarent la Vérité, ne craignant le blâme de personne. Ceux-ci sont fort probablement ceux qui évoquent le plus constamment leur Seigneur, Exalté soit-Il.
 
Ce sont des jours d’évocation et de louange :
En fait, les jours de Tachriiq sont des jours consacrés à l’évocation d’Allah, Exalté soit-Il et à la reconnaissance de Ses bienfaits. Si le musulman est enjoint d’évoquer son Seigneur, Exalté soit-Il, et de Lui rendre grâce à tout moment, cette attitude est encore plus nécessaire durant ces jours bénis. D’après Noubaychah Al-Hodhali, qu’Allah soit satisfait de lui, le Prophète, Salla Allahou ‘Alaihi wa Sallam, a dit : « Les jours de Tachriiq sont des jours où l’on boit, où l’on mange et où l’on évoque Allah » (Ahmed et Mouslim). Selon la version rapporté par le premier : « Que celui qui entreprend un jeûne le rompe, car ce sont des jours où l’on boit et où l’on mange »  
C’est bien aux jours de Tachriiq que correspond le verset, dans lequel Allah, Exalté soit-Il, dit (sens du verset) : « Et invoquez Allah pendant un nombre de jours déterminés » (Coran 2/203). D’après ‘Abd Allah ibn Qart, qu’Allah soit satisfait de lui, le Prophète () a dit : « Les meilleurs jours aux yeux d’Allah, Exalté soit-Il, sont celui du Nahr (jour de l’accomplissement du sacrifice) et celui du Qarr (jour du repos ou de la tranquillité) »(Ahmad).
 
Comme ces jours concluent une saison éminente, où les pèlerins parachèvent leur Hadjj et où les autres musulmans se rapprochent de leur Seigneur, Exalté soit-Il, par l’immolation d’un animal en offrande après les bonnes œuvres qu’ils ont accomplies pendant la première décade du mois de Dhoul Hidjjah, il est donc préférable que cette conclusion prenne la forme de l’évocation d’Allah, Exalté soit-Il.
 
Il s’agit là d’une tradition qu’Allah, Exalté soit-Il, nous a enjoint de suivre après certains actes d’adoration : en ce qui concerne l’évocation, recommandée après l’accomplissement de la prière prescrite, Allah, Exalté soit-Il, dit (sens du verset) :
 
« Quand vous avez accompli la Salāt, invoquez le nom d’Allah, debout, assis ou couchés sur vos côtés » (Coran 4/103).
 
A propos de l’évocation, recommandée après l’accomplissement de la prière du Vendredi, Allah, Exalté soit-Il, dit (sens du verset) :
 
« Puis quand la Salat est achevée, dispersez-vous sur terre et recherchez [quelque effet] de la grâce d’Allah, et invoquez beaucoup Allah afin que vous réussissiez » (Coran 62/10).
 
Et pour ce qui est de l’évocation qui suit l’accomplissement du Hadjj, Allah, Exalté soit-Il, dit (sens du verset) :
 
« Et quand vous aurez achevé vos rites, alors invoquez Allah comme vous invoquez vos pères, et plus ardemment encore » (Coran 2/200)
 
Celui qui évoque son Seigneur, Exalté soit-Il, doit absolument réfléchir et méditer sur ce qu’il répète, étant donné que cela mène à davantage de dévotion sincère et de piété.
 
Ibn Al-Qayyim, qu’Allah lui fasse miséricorde, a affirmé : « La meilleure et la plus utile évocation est celle qui est faite à la fois par le cœur et par la langue, qui fait partie des évocations prononcées par le Prophète () et dont la signification et l’essence sont saisies par celui qui la prononce ».
 
Des évocations recommandées pendant les jours de Tachriiq :
Pendant ces jours bénis, il est fort recommandé, pour les pèlerins et pour tous les musulmans, de répéter les Takbiirs à la fin des prières prescrites et, en général, au cours des trois jours de Tachriiq jusqu’au coucher du soleil du treizième jour de Dhoul Hidjjah.
 
Il est rapporté que ‘Omar, qu’Allah soit satisfait de lui, répétait le Takbiir si fort dans sa tente à Mina que les gens qui se trouvaient dans la mosquée l’entendaient. Ils se mettaient à leur tour à répéter le Takbiir à haute voix, suivis par les gens qui se trouvaient dans les marchés, au point de faire trembler la ville.
 
De son côté, Ibn ‘Omar, qu’Allah soit satisfait de lui et de son père, qui se trouvait également à Mina pendant les jours de Tachriiq, répétait le Takbiir suite aux prières prescrites, dans son lit, dans sa tente, assis et en marchant. Quant à Maymounah, qu’Allah soit satisfait d’elle, elle répétait le Takbiir pendant le jour de Nahr (sacrifice), et, les jours de Tachriiq, les femmes le répétaient après Abaane Ibn ‘Affaane et ‘Omar Ibn ‘Abdil-‘Aziiz avec les hommes dans la mosquée (Boukhari). Le Takbiir à répéter à la fin des prières prescrites est tellement important que les oulémas sont allés jusqu’à dire qu' : « Il doit être rattrapé dès que le musulman qui a accompli la prière s’en souvient, même s’il a rompu ses ablutions ou quitté la mosquée, tant qu’un grand laps de temps ne sépare pas le Takbiir de l’accomplissement de la prière. Il en est de même pour le Takbiir en général qui est à répéter dans les marchés, à la maison, à la mosquée et sur les routes, pour exalter et glorifier Allah, Exalté soit-Il, et pour manifester Ses rites ».
 
Conjuguer le bien-être du cœur et celui du corps :
Pendant les jours de Tachriiq, les croyants combinent bien-être corporel, en consommant différents aliments et boissons, et bien-être spirituel en multipliant les évocations et en rendant grâce à leur Seigneur, Exalté soit-Il. C’est ainsi que le bienfait d’Allah, Exalté soit-Il, sera parachevé. Et à chaque fois qu’ils reconnaissent un bienfait, leur reconnaissance sera pour eux un nouveau bienfait, pour lequel ils devront rendre encore grâce à leur Seigneur, Exalté soit-Il. Par conséquent, les louanges qu’ils vouent à Allah, Exalté soit-Il, sont interminables.
 
Le bienfait incite à l’obéissance :
Commentant le hadith, dans lequel le Prophète () a dit : « Les jours de Tachriiq sont des jours où l’on boit, où l’on mange et où l’on évoque Allah », Ibn Radjab, qu’Allah lui fasse miséricorde, a expliqué dans Lataa-if-oul-Ma’aarif : « Ce hadith précise que les aliments et les boissons que nous consommons pendant les jours de fête doivent nous inciter à évoquer Allah, Exalté soit-Il, et à Lui obéir, car la reconnaissance optimale pour les bienfaits d’Allah, Exalté soit-Il, consiste à s’en servir pour faire preuve d’obéissance. Dans Son Livre (le Coran), Allah, Exalté soit-Il, nous donne l’ordre de consommer des aliments licites et de Lui rendre grâce. Par conséquent, quiconque se sert des bienfaits d’Allah, Exalté soit-Il, pour Lui désobéir, nie ces bienfaits, y répond par l’ingratitude et mérite de ce fait d’en être privé.
 
Parmi ces bienfaits, figure en particulier la consommation de la bête de cheptel pendant les jours de Tachriiq. En fait, ces bêtes obéissent à Allah, Exalté soit-Il, sans jamais Lui désobéir ; elles glorifient Allah, Exalté soit-Il, et sont exclusivement soumises à Lui, puisqu’Il dit, Exalté soit-Il (sens du verset) : « Et il n’existe rien qui ne célèbre Sa gloire et Ses louanges » (Coran 17/44). Elles se prosternent devant leur Seigneur, Exalté soit-Il, puisqu’Il dit (sens des versets) :
 
·        « Et c’est devant Allah que se prosterne tout être vivant dans les cieux, et sur la terre; ainsi que les Anges qui ne s’enflent pas d’orgueil » (Coran 16/49) ;
 
·        « N’as-tu pas vu que c’est devant Allah que se prosternent tous ceux qui sont dans les cieux et tous ceux qui sont sur la terre, le soleil, la lune, les étoiles, les montagnes, les arbres, les animaux, ainsi que beaucoup de gens? Il y en a aussi beaucoup qui méritent le châtiment » (Coran 22/18).
 
Ces bêtes sont peut-être plus ferventes que certains fils d’Adam, quant à l’évocation de leur Seigneur, Exalté soit-Il, puisque le Prophète () a dit : «Il se peut qu’une bête soit meilleure que celui qui la monte et qu’elle évoque Allah plus que lui » (Ahmad ).
 
Dans Son Livre saint, Allah, Exalté soit-Il, nous informe que beaucoup de djinns et d’être humains sont comparables aux bestiaux et même plus égarés qu’eux. Et pourtant, Allah, Exalté soit-Il, a permis à Ses serviteurs croyants d’immoler ces bêtes, obéissantes et qui évoquent Allah, pour se fortifier et se régaler par la consommation de leurs viandes, tellement nutritives et délicieuses. Il est vrai que les corps peuvent survivre par la seule consommation de végétaux, mais la force, la raison et la jouissance ne peuvent être complètes que par la consommation des viandes. Voilà pourquoi Allah, Exalté soit-Il, a rendu licites l’immolation de ces bêtes et la consommation de leurs viandes, pour octroyer à Ses serviteurs une force physique et mentale optimale et, par conséquent, pour qu’ils deviennent capables d’apprendre un savoir utile, d’accomplir les œuvres pieuses par lesquelles l’homme se distingue des bestiaux, et de se fortifier pour pouvoir évoquer constamment Allah, Exalté soit-Il. Ainsi, il appartient au croyant de recevoir ces bienfaits avec une pleine gratitude et de s’en servir pour obéir et évoquer son Seigneur, Exalté soit-Il, Qui lui a donné la préférence par rapport à beaucoup de Ses créatures et Qui lui a assujetti ces bêtes. Allah, Exalté soit-Il, dit (sens du verset) :
 
« Mangez-en, et nourrissez-en le besogneux discret et le mendiant. Ainsi Nous vous les avons assujettis afin que vous soyez reconnaissants » (Coran 22/36).
 
Quiconque immole ces bêtes, obéissantes à leur Seigneur, Exalté soit-Il, et évocatrices, puis se sert de leur chair pour commettre des actes de désobéissance et néglige l’évocation d’Allah, Exalté soit-Il, se montre ainsi ingrat vis-à-vis des bienfaits d’Allah, Exalté soit-Il. Certes, les bestiaux sont meilleurs et plus obéissants que lui ».
 
Allah, Exalté soit-Il, dit à propos de l’assujettissement de ces bestiaux (sens du verset) :
 
« Nous vous avons désigné les chameaux (et les vaches) bien portants pour certains rites établis par Allah. Il y a en eux pour vous un bien. Prononcez donc sur eux le nom d’Allah, quand ils ont eu la patte attachée, [prêts à être immolés]. Puis, lorsqu’ils gisent sur le flanc, mangez-en, et nourrissez-en le besogneux discret et le mendiant. Ainsi Nous vous les avons assujettis afin que vous soyez reconnaissants » (Coran 22/36). 
 
Commentant la dernière partie de ce verset, Ibn Kathiir, qu’Allah lui fasse miséricorde, a expliqué : « Allah, Exalté soit-Il, dit qu’Il a soumis ces bêtes à l’homme pour les monter, les traire ou les immoler quand il veut. Il dit également en ce sens (sens des versets) :
 
« Ne voient-ils donc pas que, parmi ce que Nos mains ont fait, Nous leur avons créé des bestiaux dont ils sont propriétaires; et Nous les leur avons soumis: certains leur servent de monture et d’autres de nourriture; et ils en retirent d’autres utilités et des boissons. Ne seront-ils donc pas reconnaissants? » (Coran 36/71-73) ».
 
Allah, Exalté soit-Il, a donc créé ces bêtes pour Ses serviteurs, car Il n’a, Exalté soit-Il, besoin ni de ces bêtes ni de l’ensemble de Ses serviteurs, et Il Se passe largement de tout l’univers. Mais Il a créé ces bêtes et les a mises à la disposition de l’homme qui doit s’en servir pour se rapprocher de son Seigneur, Exalté soit-Il, et les immoler en guise de sacrifice pendant ces jours excellents. Allah, Exalté soit-Il, dit (sens du verset) :
 
« Ni leurs chairs ni leurs sangs n’atteindront Allah, mais ce qui L’atteint de votre part c’est la piété. Ainsi vous les a-t-Il assujettis afin que vous proclamiez la grandeur d’Allah, pour vous avoir mis sur le droit chemin. Et annonce la bonne nouvelle aux bienfaisants » (Coran 22/37).
 
Expliquant ce verset, Ibn Kathiir, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit : « Allah, Exalté soit-Il, vous a prescrit d’immoler ces bêtes à titre d’offrande et de sacrifice pour évoquer Allah, Exalté soit-Il, en les égorgeant, car Il est le Créateur (Al-Khaaliq) et Celui qui pourvoit (Ar-Raaziq). Il n’obtiendra ni la chair ni le sang de ces bestiaux, car Il Se passe de tout en dehors de Lui. En fait, pendant la Djaahiliyah (période préislamique), quand les gens égorgeaient des animaux de sacrifice à leurs idoles, ils les couvraient de la chair de ces animaux et les aspergeaient de leurs sangs. Voilà pourquoi Allah, Exalté soit-Il, dit (sens du verset) : 'Ni leurs chairs ni leurs sangs n’atteindront Allah' (Coran 22/37) ».
 
Les jours de Tachriiq et les délices du Paradis :
Il est interdit de jeûner les jours de Tachriiq, qui suivent les bonnes œuvres accomplies pendant la première décade de Dhoul Hidjjah par les musulmans et les rites du Hadjj, accomplis par les pèlerins. Cette interdiction, accompagnée de l’ordre donné aux musulmans de jouir des bonnes choses qu’Allah, Exalté soit-Il, a rendu licites, fait allusion à la situation des croyants dans la vie présente : celle-ci est tout à fait comparable à un voyage, comme c’est le cas du pèlerinage, pendant lequel le croyant s’abstient des plaisirs prohibés par son Seigneur, Exalté soit-Il. Celui qui fait preuve d’endurance pendant ce voyage et s’abstient des mauvaises passions, lorsque ce voyage prend fin et qu’il parvient au terme de sa vie, se trouve purifié de ses turpitudes et aura accompli ce qu’Allah, Exalté soit-Il,  lui avait ordonné. Tous les jours de sa vie deviennent alors comme ceux de Mina, des jours de nourriture, de boissons et d’évocation d’Allah, Exalté soit-Il ; de même, il sera le visiteur d’Allah, Exalté soit-Il, et restera près de Lui à jamais. Voilà pourquoi Allah, Exalté soit-Il, dit aux habitants du Paradis (sens des versets) :
 
·        « En récompense de ce que vous faisiez, mangez et buvez en toute sérénité » (Coran 52/19) ;
 
·        « Mangez et buvez agréablement pour ce que vous avez avancé dans les jours passés » (Coran 69/24).
 
Quiconque s’abstient d’assouvir ses (mauvais) désirs aujourd’hui rompra son jeûne demain après sa mort, et quiconque se précipite vers les délices qui lui sont interdits dans la vie présente sera privé de sa part des jouissances du Paradis. La preuve : quiconque consomme du vin dans la vie présente ne le goûtera jamais au Paradis, et quiconque porte des habits de soie dans ce bas monde n’en portera jamais dans l’au-delà.
 
Par conséquent, le musulman doit absolument faire preuve de piété et occuper son temps par le biais de l’évocation d’Allah, Exalté soit-Il, des louanges et de l’obéissance, toutes vouées à son Seigneur, Exalté soit-Il. De même que ces jours excellents s’achèvent pour le négligent comme pour le bienfaisant, avec une grande différence entre l’œuvre du premier et celle du second, la vie présente arrive également à son terme sans hâter l’heure du bienfaisant, ni retarder celle du négligent pour qu’il se repente. Quand leur terme arrive, ils ne peuvent ni le retarder d’une heure ni l’avancer. Mais l’obéissant oublie la peine qu’il a endurée pour faire preuve d’obéissance et pour se mettre à l’écart des passions et savoure la rétribution et la bonne récompense. Quant au désobéissant, il oublie la saveur des passions et ne goûte que l’amertume des mauvaises œuvres qui ont été inscrites (sur son compte), suite à la négligence des prescriptions divines et à la perpétration des interdits. Qu’Allah, Exalté soit-Il, nous guide tous sur Son chemin droit, et nous aide à œuvrer toujours pour gagner Son agrément.
 
Louange à Allah, Seigneur de l’univers. Que la paix et les bénédictions d’Allah soient sur le plus noble des prophètes et des messagers, notre Prophète Mohammad, ainsi que sur sa famille et  tous ses Compagnons.

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